Vendeurs de mèches
Pas celles du front évidemment ! Mais j'y monte...
Journaliste, quel beau métier. Chercher l'info, entre ses mains tenir son sujet, et dans un voeu d'utilité ou encore de divertissement pouvoir l'offrir au public. Ceci est l'info prenez et mangez... (tiens ça rappelle quelque chose). D'une certaine manière, nous sommes tous un peu des journalistes en herbe, et notre salaire n'est autre que le visage amusé ou horrifié de notre public. "Tu connais pas la dernière ? non ! faut que je t'raconte!!!" Et bing d'un coup mille points de plus pour l'égo. :-)
C'est humain, c'est drôle, pourquoi se priver. Si on peut plus rigoler ou se tenir au courant de ce qui se passe autour de nous, où va-t-on ? (A moins de préferer les choux, of course.)
Alors on s'amuse tous avec nos petites infos sous le bras, que l'on disperse à tous vents, à tout va. Et puis, il y a celles qui vont mal, le genre d'infos pas controlées, qui sont lachées dans la nature sans faire expres. Et bing d'un coup mille points de moins pour l'égo et surtout quelques points de sutures pour celle ou celui qui est concerné(e).
Mais nous ça nous arrive jamais de divilguer ce genre d'infos, nous ne sommes que des amateurs dans ce domaine, pas vrai?!!
En revanche, il y a des professionnels. Des vendeurs de mèches qui ne devraient pas trop jouer avec le feu et encore mois avec la poudre parce qu'à défaut de la voir briller dans nos yeux, tout ça pourrait bien un jour leur exploser à la figure, BOUM!
Oui, une bonn' paire de claque dans la g.... (titre incroyable que je viens de découvrir, qui date pourtant de 1959, écrit par Boris Vian et composé par Henri Salvador -merci patriiiick) parfois ça ne leur ferait pas de mal! Ils mériteraient même.
Bon allez, je remets mes lunettes noires... ni vue, ni connue, bonne journée.